Le Diplôme d’Etat d’Accompagnant Educatif et Social option accompagnement à l’éducation inclusive avait initialement pour objectif de professionnaliser le métier d’AVS ( auxiliaire de vie scolaire ) AESH ( Accompagnant d’Elève en Situation de Handicap).
Le DEAES a été décrié dès le départ par les principaux concernés et par les syndicats. Un an après le début des premières sessions, leurs craintes semblent justifiées.
La majorité des centres de formation ne proposent pas l’ option » accompagnement à l’éducation inclusive », celle censée permettre la professionnalisation du métier d’AVS ou AESH. Il semblerait d’ailleurs que lorsque les candidats choisissent cette option quand elle existe, les centres de formation tenteraient de les dissuader en leur disant qu’il n’y a pas de débouchés.
Sarah témoigne » En début de formation, les formateurs ont tenté de me réorienter vers une des deux autres options « Accompagnement de la vie à domicile » ou « Accompagnement de la vie en structure collective ». J’ai persisté dans mon choix mais je suis déçue: difficultés à trouver des stages, formateurs ne maîtrisant pas le contenu des différents modules… Je pense que cette formation a été proposée à la va-vite, c’est un manque de respect pour les candidats qui utilisent leur compte personnel de formation pour la financer! »
Le financement, autre point noir. Pôle emploi et autres organismes financeurs rechignent à financer l’option « accompagnement à l’éducation inclusive » et pour cause …
L éducation Nationale ne reconnait pas ce nouveau diplôme et continue d’embaucher par le biais de Pôle Emploi des AVS en contrat aidé type CUI à 20h/semaine pour un salaire de misère. L’Etat ne semble pas prêt à débloquer les moyens nécessaires pour embaucher des personnes diplômées Accompagnant Educatif et Social .
Reste à savoir si dans les années à venir la formation au DEAES sera proposée aux AESH déjà en poste avec les aménagements nécessaires pour la suivre en cours d’emploi.
Collectif AESH En action! 
Ca continue, encore et encore, d’accord, d’accord ! La France, la reine des diplômes qui ne servent à rien. No comment.
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Ben oui ils preferent embauvher des chomeur longue durée, c est l’idee faire baisserble chomage en proposant un accompgnement a bas coup non pro aus enfants handicapés
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Bonjour.
Je ne suis pas du tout d’accord avec le point de vue défaitiste de cet article. Personnellement, je prépare le DEAES avec la spécialisation Inclusion scolaire et vie ordinaire, à Askoria Rennes. Effectivement nous ne sommes pas une majorité à avoir fait ce choix sur l’ensemble de la promotion. Néanmoins, je suis satisfaite de l’organisation de cette formation et de son contenu même si évidemment tout n’est pas parfait, puisque nous « essuyons les plâtres ». Mais nous sommes conscients du défi à relever qui est de créer des passerelles entre l’éducation nationale, jeunesse sport et cohésion sociale et l’ARS. Nous avons un nouveau métier à créer, il faut du temps, même si c’est toujours trop long. Pour ma part l’inspection académique exige désormais le DEAES pour les nouvelles embauches d’AESH. Comme quoi nous n’en sommes pas encore à l’harmonisation des politiques territoriales. Mais ça vient et nous avons un rôle à jouer, en tant que professionnels en devenir, dans cette évolution des choses.
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tu es de quel département ?
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Perso je pense que cela dépend des organisme de formation je suis du 54 et c’est horrible il ne maitrise pas vraiment les contenus de cette formation et pour preuve nous somme les premiers et oui effectivement ont essuie les plâtre nous ont nous a imposer de faire 3 publics différent et ce dans 3 structure différentes et bien je vous assure pour ne pas cité le nom la prochaine fois je vais en formation avec l’irts au moins cela et cadré ont ne sera pas livrés à nous même et ont auras de vrais suivi en entreprise et ont nous balladera pas partout où les formateur ne se jetterons pas la balle les uns et les autres en tout cas vraiment déçu de l’organisme ou je suis car ont à changer 4 fois de referante de formation en 6 mois donc ils faut vraiment se poser des question
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Si dans l’avenir vous devez accompagné un élève dyslexique ou dysorthographique, il vous faudra améliorer très nettement votre orthographe ! Je pense sincèrement qu’un certain niveau scolaire est nécessaire pour un accompagnement de qualité. Nous sommes là pour aider les élèves, comment le faire avec de telles lacunes ?
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Perso je pense que cela dépend des organisme de formation je suis du 54 et c’est horrible il ne maitrise pas vraiment les contenus de cette formation et pour preuve nous somme les premiers et oui effectivement ont essuie les plâtre nous ont nous a imposer de faire 3 publics différent et ce dans 3 structure différentes et bien je vous assure pour ne pas cité le nom la prochaine fois je vais en formation avec l’irts au moins cela et cadré ont ne sera pas livrés à nous même et ont auras de vrais suivi en entreprise et ont nous balladera pas partout où les formateur ne se jetterons pas la balle les uns et les autres en tout cas vraiment déçu de l’organisme ou je suis car ont à changer 4 fois de referante de formation en 6 mois donc ils faut vraiment se poser des question
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