Je recherche une avs pour mon fils

. Je me permets de mettre l’annonce ici, si cela intéresse quelqu’un

Poste d’auxiliaire de vie scolaire (contrat AESH de l’inspection académique)
Recherche auxiliaire de vie scolaire en contrat AESH sur la commune d’Aix en Provence (13) pour la rentrée 2017. Vous interviendrez pour aider un enfant de 9 ans scolarisé avec autisme léger, hyperactivité (TDAH), dysphasie, polyallergies et troubles de comportement.

Vos tâches : aider et guider l’enfant dans ses apprentissages, dans son autonomie et ses relations sociales. Garantir sa sécurité, l’aider à se canaliser et à se concentrer. Vous serez aidé et guidé par l’équipe enseignante et les professionnels entourant l’enfant.

Votre profil : vous avez une expérience (personnelle ou professionnelle) dans ce type d’handicap ainsi qu’un baccalauréat. Vous êtes capable de proposer un cadre à la fois ferme et bienveillant, êtes dynamique et motivé par ce type de profil d’enfant.

Le poste : 20h par semaine sur les horaires scolaires. En contrat AESH renouvelable chaque année. Possibilité d’heures supplémentaires hors contrat AESH avec la mairie sur les temps de cantine si vous le désirez.

Coordonnées : br.muriel13@gmail.com. Ceci est une étape de pré recrutement, le recrutement final étant assuré par l’inspection académique elle-même.

3 commentaires

  1. Bonjour,

    je suis AESH depuis 6 ans, en CDD. J’attends un « éventuel » entretien pour prétendre à un autre « éventuel  » CDI. Et peut-être qu’ « éventuellement », si j’accède au saint Graal du CDI, on me demandera tous les ans si je veux continuer à prétendre à ce CDI tant attendu par nous tous. C’est le seul métier où à ma connaissance on demande à un salarié s’il veut continuer à être en CDI ou s’il ne veut pas démissionner pendant les vacances d’été (Genre : « Vous êtes vraiment certains de vouloir continuer à travailler en tant qu’AESH? »)
    Je viens de voir votre annonce et j’imagine que vous allez recevoir des propositions. Et vous pourrez faire votre choix. Je suis surprise que vous demandiez une expérience dans le domaine du handicap (laquelle : éducateur, ergo, psycho?) et le niveau Bac alors que le niveau du diplôme pour ce type d’emploi, le fameux DEAES soit de niveau V (soit le CAP).
    Pour ma part j’ai été embauché au niveau BAC +2, avec une expérience auprès d’enfants non handicapés dans un centre d’aide aux devoirs et une longue expérience dans le domaine de l’insertion professionnelle.
    Les critères de recrutement sont élevés pour un métier qui est très exigeant et peu reconnu (confirmé par le niveau peu élevé du diplôme et la rémunération qui reste au SMIC malgré les années d’ancienneté).
    Est ce que ça n’est pas pour conforter le fait que l’Etat qui, certes, a fait des efforts notables depuis la loi de 2005, continue de considérer l’accompagnement des enfants en situation de handicap comme un emploi de « seconde zone »? La majorité de ces emplois sont des mi-temps subis, est ce qu’on peut faire vivre une famille avec 700 euros par moi?
    En fin de compte, est ce qu’on veut auprès de ces enfants en situation difficile, auquels il faut apporter sérénité, confiance, bienveillance et compétence, des personnes elles-mêmes en difficulté?
    La bonne volonté de ces personnes ne suffit pas, ne suffit plus. Il est temps de passer à l’étape supérieure.
    Je vous invite à nous rejoindre, vous parents, dans nos luttes pour un personnel formé, correctement payé et avec la possibilité de travailler à temps plein, pour un accompagnement de qualité auprès de vos enfants.

    Dominique

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